Vendredi 19 septembre

Papy part aujourd’hui.
Sa valise est prête : il ramène quelques produits alimentaires : des artichauts à l’huile, des tomates, du « pecorino »( fromage pour les pâtes), des pâtes et du basilic du jardin.

Nous déjeunerons avant d’aller à l’aéroport.

Il n’échappera pas à la photo devant la porte.

Nous prenons un bouchon sur l’autoroute. Je ne suis pas inquiète, j’ai pris une bonne marge.
Oh, il ne ratera pas son avion : quand je lui ai demandé à quelle heure il partait, il m’a répondu :  « 7h55 »…j’ai entendu  « 17h55 »
Nous étions à l’aéroport à 16h.
J’ai attendu que son vol soit affiché pour le diriger vers le bon comptoir.
Heureusement, dans son sac, il avait ses mots croisés…

Il faisait nuit quand je suis rentrée à la maison…

Il y a bien longtemps que je ne me suis pas retrouvée seule.
Je dormirai peu.

Comments

[Jean-Michel]

La solitude ca n existe pas disait la chanson...
Avec messenger, skype, on peut etre proches de ceux qu on aime, surtout quand ils sont loins...
Mais c'est vrai que ca ne remplace pas encore une chaufferette...
Affreuses biz